BLOOMING BOMB ON THE B.I.Ts


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Remember me (?)



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Je voudrais vous démissionner sans solde tout compte sur l’avancée du temple testiculaire en insistant à mort…

Souffler dans vos cul l’harmonie du désespoir.
La chute macabre du cercle où se trouvent les éclairs et les cornes si cette craie continue à signer son impuissance à cause de votre désir attardé d’arc-en-ciel.
Regardez, la valse vaginale au centre du front.
Salots à souhait.
Ça virevolte au dessus des tripes nettoyées par les asticots que j’élève et abats à la pointe du feutre en vue du grand banquet des cafards mondains où vous serez mis en chair sur un air de Sévillana.
La barbarie de vos jolis yeux (et le pompon de vos couilles comme une chanson sur les maladies orphelines) aqueux et à queue.
Kohaku.
Lécher la merde du vieux bouffon du gouffre qui enlace les pins de sa clinique psychiatrique pour tenter d’apprendre la jouissance de la seconde dans sa propre chair.

Ne pas avoir pitié parce que ça manque de courtoisie.
Vous devriez entendre la confession des poils pubiens un petit peu inquiets des amours aveugles par souvenir des éclairs de tueries performatives car cristallisées par elle mêmes dans l’enfoncement du miroir.

C’est au sol, maintenant.

Votre canne qui mord le reflet sur le vol des vibrations en migration d’éventrations fort proches, si proches que le ciel s’obsède à être un hématome chaque jour que le sacrifice jette aux poubelles, impératrices de l’univers.

Ceci n’est pas un sort.
Zone des serres purulentes.
Croûtes, quoi !
Un mystère en entrée avec de la lèpre noire accommodée des longs sourires lacérés qui sévissent par aboiement de fortune celle qui se reprend en sections signifères.

Masser avec du sang.
Avec cette douce odeur de fer.
Provenir et procéder.

Vous savez bien la gangrène des pales de l’hélicoptère et l’alunissage des malaises au fin fond des cuves de la mémoire en sueur.

Je veux croire au spectre fécal de l’humain.
Zombie sex symbol.
Nous détacherons le quelqu’un au scalpel sous les yeux du président qui attend que son crâne pourrissant soit déposé au sommet de la colline, tourné vers l’Ouest.
Profondément vivisecté, en votre honneur.
Zoïle.
Ces signes qui me violent en permanence pour que je vous garde en vie et qui claquent, éclatent mes pupilles en contamination qui se cendre sans glace volcanique.
Ecchymose amoureuse.
Mussinerie optimisée par le sang.
Sans oxygène.

En optique de thune pimentée au vice qui laisse venir le détour de la rivière rien que par fuite d’inconnu, rien que pour moi, voyageur…

J’aime à bercer la bombe.
The blooming bomb !

Vous voulez construire un bassin carré, mais comme il vous manquez deux pierres, il est devenu rond.
Ça c’était juste histoire d’éviter l’extermination des saxophones sur les paniers de qui vous savez en plan de vente cosmique et lent au point d’ébullition des veines.

Mes lèvres verticales profanées par une profusion illimitées de verges à intervalles réguliers ce qui m’érige en chaleurs éternelles sur le silence des post-gémissements oculaires.
Je ne cours jamais.
Ou bien, courir à toutes forces comme un rêve d’enfance avec la sensation de ce mixage de plomb et de plumes entre les dents.
Je joue moi une fois encore.
Moi encore.
Et ça revient avec le frisson où rien ne change et vous persistez mon âme délitée par votre fenêtre en échos cavernicoles sur un sentier parfois effacé.

Vous jettez la route.
Je l’écrase.
Ainsi ces scores glauques d’inscriptions neuronisent l’idée du réseau sans volonté humaine, juste la vie qui va bientôt se moquer énormément.

BOOM !


2 Reaction(s)

  1. Anonymous Anonyme 

    testt qsdgfsqgsfdg


    sgsdg

    sdfgsdgfsdfgs


    sdgsdgsdfgsdgf

  2. Anonymous Anonyme 

    tu fais du work in progress ?
    Kiss-kiss !

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