Le plan des pans

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Redresser, redresser, redresser, redresser, redresser, redresser
Et re-dresser.

Grande marche des murs,
Sans escaliers, s’il vous plait.

Prédicat copule sur la persistance rétinienne.

Au pas levé, faussaires !
Hôtesse charnière.

Vois le ciel alité l’horizon courbe illusion au bandeau marron pollution masse sol voilé violé pétri par l’énergie sombre fissure explosion première. Plus.

Le plasma rang.

Envie de pans ?

Plaine érige des couches à plats.

Au pied du …
4 mains ont mangé le premier.


noone+S86

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http://parler.c.la


1238 : Moi c'est S86 qui persiste et signe ...... [0 ] ....... [love]



1239 : hello ...... [0 ] ....... [love]



1240 : Ecris un texte orgasmé par ton prodigieux cerveau créateur d'affection jolie ...... [0 ] ....... [love]



1241 : mais il me semble reconnaître là les mots inspirés par un être aimé, c'est beaucoup d'amour que ces mots ...... [0 ] ....... [love]



1242 : l'illusion du web c'est l'amour c'est une illusion jolie aussi tandis que la haine non n'est-elle pas jolie aussi la haine est belle aussi parfois ...... [0 ] ....... [love]



1243 : a-t-on besoin d'aimer pour haïr étrangeté que tout cela ...... [0 ] ....... [love]



1244 : l'amour est surement l'une des choses les plus reelles qui soit, en tout cas pour moi ...... [0 ] ....... [love]



1245 : pourquoi ce concept semble-t-il mieux fonctionner que le précédent, les numéros sont-ils si nécessaires à l'écrit, peut-être est-ce simplement la présence d'une colonne de droite qui donne moins l'impression de vide et d'espace ...... [0 ] ....... [love]



1246 : tu es chanceux(se) de croire cela, la réalité du virtuel en tout cas je l'affectionne aussi ...... [0 ] ....... [love]



1247 : oui c'est surement l'impression de securité, du fait d'etre encadré ...... [0 ] ....... [love]



1248 : la réalité du virtuel est un reflet de nos fantasmes ...... [0 ] ....... [love]



1249 : les sentiments sont comme des douleurs fantomes ...... [0 ] ....... [love]



1250 : il me semble que par l'écrit l'on puisse exprimer mieux ce qui échappe au langage, le sens multiple procure tant de lectures aléatoires et possiblement réelles, qu'il importe finallement plus d'écrire pour soi-même que pour être compris par les autres, mais le regard de l'autre permet de se regarder différemment, soyons différents et en même temps semblables, mais fuir le banal et l'ennui, point de sagesse sans créativité ...... [0 ] ....... [love]



1251 : tout cela est imaginé,on s'y complait ...... [0 ] ....... [love]



1252 : c'est moi qui ai écrit cela, c'est amusant de prendre ce ton un peu pompant, cela en rend-il la lecture pompeuse, je te le demande en ami ...... [0 ] ....... [love]



1253 : oui oui trop de complaisance semble-t-il ramolit notre cerveau déjà mou il ne fait pas de doute, alors excitons ces neurones endormis trop peu endoloris, fais moi mal ...... [1 ] ....... [love]



1254 : c'est eclairé... ...... [0 ] ....... [love]



1255 : la linéarité est une chose oripilante ainsi donc mais nous ne sommes pas linéaire, notre regard est circulaire, nos globes globuleux, nos globules mobiles ...... [0 ] ....... [love]



1256 : quand le sang gicle c'est une danse quand la douleur s'exprime c'est un chant comment voir blanc ce qui est noir et en rouge ce qui est invisible le sang est en nos veines et sa vue nous est encore violence ...... [0 ] ....... [love]



1257 : c'est vrai au point de vue physiologique ...... [0 ] ....... [love]



1258 : la sève créatrice monte provoquée par l'orgasme, l'orgie de l'écriture c'est une tuerie poétique ...... [0 ] ....... [love]



1259 : que faisons nous de notre cervelle là est la question en fait puisque notre principale occupation est manger dormir et autres fonctions pysiologiques comme faire l'amour ...... [0 ] ....... [love]



1260 : mais que nous faisons que trop mal, éternels insatisfaits que nous sommes, ils nous faut toujours plus ...... [0 ] ....... [love]



1261 : je pense vraiment qu'il faut s'oublier pour avancer,mais cet etat d'ame n'est encore accesible qu'a certain illuminé ...... [0 ] ....... [love]



1262 : ils sont pour la plupart en hp,l'avenir de l'homme est la simplicité ...... [0 ] ....... [love]



1263 : ne dissocions pas l'âme du corps ou n'établissons aucune hiérarchie, soyons notre meilleur allié pour un semblant de victoire, notre orgueil est de vouloir durer, devenons souple, notre humanité est-ce de vouloir nous tuer, alors ne soyons plus humains, soyons des robots aimants, cela-dit continuons de procréer ...... [0 ] ....... [love]



1264 : notre cerveau doit servir nos emotions et pas notre savoir ...... [0 ] ....... [love]



1265 : franchir la porte du virtuel c'est aussi laisser entrer l'imaginaire et laisser de côté la morale pensée, le jeu est le meilleur moyen de sortir de ses chaînes chéries, nous sommes enchaînés à nos habitudes de vie, et notre vie devient muette puisque nous devenons sourds ...... [0 ] ....... [love]



1266 : nous sommes des robots ici, tu peux te servir de toute ta bile contre moi, au pire tu n'auras que des insultes en ecrit,et tu debrancheras la prise pour me faire taire ...... [0 ] ....... [love]



1267 : 1286 c'est la solitude qui pousse a ça ou encore la deception ou tout autre sentiments de frustrations, ...... [0 ] ....... [love]



1268 : la porte du virtuel s'ouvre quand tu fermes la porte de chez toi ...... [0 ] ....... [love]



1269 : provoquer l'imaginaire c'est aussi accepter le jeu des hasards et des rencontres, il y a le risque, mais le risque se situe de l'autre côté, du côté de l'immobilisme, le végétal est aujourd'hui plus vivant avant que nous ne l'ayons tué complètement, le temps est source de perceptions différentes, devenons végétaux un temps et transformons notre vision du vivant, la moisissure créative ...... [0 ] ....... [love]



1270 : c'est un immense telephone rose adoucis ...... [0 ] ....... [love]



1271 : adoucissons les angles, les aspérités pour se raccrocher à quoi, roulons donc et chamboulons la raison, plus facile à dire qu'à faire, faut-il le rappeler, la mémoire est plus longue que courte ...... [0 ] ....... [love]



1272 : 1272 ...... [1 ] ....... [love]



1273 : la mémoire est plus courte que longue n'avons nous pas repeté les mêmes erreurs,et ne revons nous pas, a un cocktail servi par un boy en chemise courte sur une plage idyllique?changer la raison a quel prix?au smic?entre un boulot de chien et des voisins borgnes? ...... [0 ] ....... [20/20 (1 vote)]



1274 : chaque parcours a son espoir,chaque espoir a son egoisme,helas ...... [0 ] ....... [love]



1275 : avons nous besoin de discerner la mémoire consciente de la mémoire inconsciente, tout ce charabia pour dire que tuer le temps passé est une perte de temps présent, et que sans cela nous recréons les conditions passées de notr présent répété, la connaissance n'est donc que répétitions, sortir du cycle, pour un autre cycle, et un autre, il n'y a pas d'autre issue que l'expérience ...... [0 ] ....... [20/20 (1 vote)]



1276 : l'avenir de l'homme c'est beaucoup de temps S86 ...... [0 ] ....... [20/20 (1 vote)]



1277 : parfois il faut savoir dire les choses pour les oublier, c'est bien d'être au moins deux et se les dire, à bientôt ...... [0 ] ....... [love]



1278 : A+ ...... [0 ] ....... [20/20 (1 vote)]


osmose au soleil déclinant

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A l'instant
Où il n'y a ni haut,
Ni bas,
Je suis là.

A l'instant
Où décline le encore,
en déjà,
Je ne suis pas.


Autorité sidaïque

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L’autorité n’a plus d’arguments

Nous sommes à l’heure des coups de cœurs.

Des cartes sont devenues aussi souveraines que le « moi » mais sans crédibilité.
Et cela pique tous les jours la sensation d’appartenance à une quelconque culture con-sanguine.
Malgré toute mise à niveau, les hordes de valets se piétinent pour être roi.

Notre cœur est un bleu.

Notre joker n’a plus de couleur.

Il est un sens sanguin, sans temps à spatialiser.
Un sens qui coule de nos veines écoeurées de ce jeu aux charmes déréglés.
Un sens qui retrouve le courant de notre sang.
Suoeurs et Phrères, le gêne commun est au cœur du château de cartes.
Le grand territoire délité.

Versons !

Au règne versatile,
Versons le réel et non plus par à-coups de cœur mais par une explosion cardiaque quotidienne et certaine.
Ceci est mon sens : Sucez !

Et faites tourner…


vestige-CC

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19.04.06 - essai #1


La morale bloguée

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La morale, la loi, les textes, visent une vie Pacifiée ?

Hélas il n’y a pas de paix dans la quotidienneté, ainsi nommée, au mieux,
l’ennui, l’aliénation et la solitude, engrais du désespoir, de la rancœur et de la haine.

La morale, la loi acoquinées au droit, à la politique affiche clairement, pourtant, la simple gestion des peuples, des fashion’s cultures façonnées dans le bourbier d’une économie mondialisée.
C’est un moteur qui ronronne bien, certes,
Mais qui tourne à vide (avide évidement : loi de marché oblige).

La politique est une valeur ajoutée ;
Elle a ses intérêts, la morale mondialisée, aussi.

Chacun est dans l’obligation de garder ses opinions, sa foi, ses points de vues, ses divergences pour lui, ceci relatant du domaine des affaires privées. (maillage parfait).
Sauf, si cela peut faire vendre un produit déjà sur produit par un sous produit dit people.

Je suis donc privée.
Est-ce là, la seule liberté ?

Le respect n’est pas monnayable.

Peut-être que le respect est une forme de vie qui se cache dans une dimension parallèle.

L’économie du respect fait banquet sur le marché, la notion d’échange.

Attention : Pas d’échange sans contrat, sans pacte, sans trace écrite ;
Sinon, le « tu » fait place au « vous » et la guerre éclate en tant de « je » publiques, (Avec des règles).

Arène quotidienne au sable mouvant du leurre.

Je me pacifie alors, prenant pour crédit ce que l’on me taxe d’être.

Il est temps atomique de rajouter des lettres à l’alphabet, des mots aux maux de textes, du respect aux mœurs vivants.

La vie est en action.

Les règles s’auto engendrent à chaque instant.

L’éthique se blogue au tic-tac…


-11 Septembre 2010-


Curriculum dévidé ...

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J'ai vendu mon ame au Diable
et ce pingre m'a réclamé la monnaie ...

J'ai chanté une fable
et la fourmi m'a taxé de mendicité ...

J'me suis piqué à l'injectable
et Timothy Leary du paradis m'a ejecté ...

J'ai bu du vin de table
et la Sécu m'a remboursé le bouchonné ...

J'ai commis un roman publiable
et les éditeurs n'avaient plus de papier ...

Alors ce matin, j'ai chié l'obélisque
et mon sphyncter s'est renfrogné.


Ignition

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- La bouffe affiche son clash.
- L'abus de soi est dangereux pour la cité.
- Des ratés expérimentaux sont à prélever.
- Mettre un grand écran à chaque carrefour.
- Cette émission singe les feux de poubelles.
- Laisser diffuser jusqu'à liquéfaction neuronale.
- Puis faire la pub de la reine fraîche sur tous les fronts.
- Sans fil, c'est pour mieux vous faire bouger.
- Tout ce qu'on attend est déjà perdu.
- Sondages abonnés à force pipeau.
- En exclusivité des précautions de non emploi.
- Rien ne gonfle les pneus.
- Rien ne saoule l'essence.
- Rien ne grise les voitures.
- L'ignition cherche son air.


Vous avez gagné votre droit à l'apocalypse

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http://media.putfile.com/gas-officine


- Que délite l’infini ?
- Il existe des traces de limites mensongères.
- ELLE invente l’homme qui croit inventer.
- Sensé ignorer la loi sans sens.
- Individualiser ce drapeau du réel.
- Triste époque dont tout le monde se moque.
- Déglacer la carte sous des pneus.
- Le message est sur nos yeux.
- Avec la coopération sur tous les fronts.
- Des délations érigent chaque jour des camps de civilisation.
- Le boulot en boulet libère.
- Après-vous, je vous en prie !
- Le bureau à gaz est au fond du couloir.


MaIsoN aRméE (Audio)

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Je voudrais vous démissionner sans solde tout compte sur l’avancée du temple testiculaire en insistant à mort…

Souffler dans vos cul l’harmonie du désespoir.
La chute macabre du cercle où se trouvent les éclairs et les cornes si cette craie continue à signer son impuissance à cause de votre désir attardé d’arc-en-ciel.
Regardez, la valse vaginale au centre du front.
Salots à souhait.
Ça virevolte au dessus des tripes nettoyées par les asticots que j’élève et abats à la pointe du feutre en vue du grand banquet des cafards mondains où vous serez mis en chair sur un air de Sévillana.
La barbarie de vos jolis yeux (et le pompon de vos couilles comme une chanson sur les maladies orphelines) aqueux et à queue.
Kohaku.
Lécher la merde du vieux bouffon du gouffre qui enlace les pins de sa clinique psychiatrique pour tenter d’apprendre la jouissance de la seconde dans sa propre chair.

Ne pas avoir pitié parce que ça manque de courtoisie.
Vous devriez entendre la confession des poils pubiens un petit peu inquiets des amours aveugles par souvenir des éclairs de tueries performatives car cristallisées par elle mêmes dans l’enfoncement du miroir.

C’est au sol, maintenant.

Votre canne qui mord le reflet sur le vol des vibrations en migration d’éventrations fort proches, si proches que le ciel s’obsède à être un hématome chaque jour que le sacrifice jette aux poubelles, impératrices de l’univers.

Ceci n’est pas un sort.
Zone des serres purulentes.
Croûtes, quoi !
Un mystère en entrée avec de la lèpre noire accommodée des longs sourires lacérés qui sévissent par aboiement de fortune celle qui se reprend en sections signifères.

Masser avec du sang.
Avec cette douce odeur de fer.
Provenir et procéder.

Vous savez bien la gangrène des pales de l’hélicoptère et l’alunissage des malaises au fin fond des cuves de la mémoire en sueur.

Je veux croire au spectre fécal de l’humain.
Zombie sex symbol.
Nous détacherons le quelqu’un au scalpel sous les yeux du président qui attend que son crâne pourrissant soit déposé au sommet de la colline, tourné vers l’Ouest.
Profondément vivisecté, en votre honneur.
Zoïle.
Ces signes qui me violent en permanence pour que je vous garde en vie et qui claquent, éclatent mes pupilles en contamination qui se cendre sans glace volcanique.
Ecchymose amoureuse.
Mussinerie optimisée par le sang.
Sans oxygène.

En optique de thune pimentée au vice qui laisse venir le détour de la rivière rien que par fuite d’inconnu, rien que pour moi, voyageur…

J’aime à bercer la bombe.
The blooming bomb !

Vous voulez construire un bassin carré, mais comme il vous manquez deux pierres, il est devenu rond.
Ça c’était juste histoire d’éviter l’extermination des saxophones sur les paniers de qui vous savez en plan de vente cosmique et lent au point d’ébullition des veines.

Mes lèvres verticales profanées par une profusion illimitées de verges à intervalles réguliers ce qui m’érige en chaleurs éternelles sur le silence des post-gémissements oculaires.
Je ne cours jamais.
Ou bien, courir à toutes forces comme un rêve d’enfance avec la sensation de ce mixage de plomb et de plumes entre les dents.
Je joue moi une fois encore.
Moi encore.
Et ça revient avec le frisson où rien ne change et vous persistez mon âme délitée par votre fenêtre en échos cavernicoles sur un sentier parfois effacé.

Vous jettez la route.
Je l’écrase.
Ainsi ces scores glauques d’inscriptions neuronisent l’idée du réseau sans volonté humaine, juste la vie qui va bientôt se moquer énormément.

BOOM !


LA VIE EST EN VERBE

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Au début était le verbe source de toute arnaque

Une nomination = une prison

Par la lettre, un pouvoir s'est ériger sur l'être, un pouvoir, pas vraiment, un avoir le droit.

Le droit d'encercler et de posséder, de construire la civilisation des angles tueurs des courbes du coeur.

Le langage n'est qu'une fréquence parmi tant d'autre.

La lettre un signe comme un autre.

Une trace.

Le hic de cette trace, c'est qu'elle se fige et fixe toute sorte de rixe évolutive et sans rythme, s'il vous plait.
Histoire d'être poli.

Pas ici.
Pas dans notre mouvance car nous voulons être dépoli de tout angle sur les rivages de l'océan vespéral, d'une grève en rêve exponentiel...

Alors, reste à sucer les bits numériques de textes surfant sur la salive du tout possible, en un raz de marée hors la loi.

Et à force de sucer, nous éroderons ce que nous sommes sensés ne pas ignorer.

Liquéfaction totale de la faction.

La réalité n’existe pas !!!

C’est une attestation de masse.
Et tôt où tard chaque masse connaît sa propre implosion.

Le détonateur est sous vos yeux.

Le détonateur c’est votre langue.

Le détonateur est l’explosion des textes de loi.


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