La morale bloguée


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La morale, la loi, les textes, visent une vie Pacifiée ?

Hélas il n’y a pas de paix dans la quotidienneté, ainsi nommée, au mieux,
l’ennui, l’aliénation et la solitude, engrais du désespoir, de la rancœur et de la haine.

La morale, la loi acoquinées au droit, à la politique affiche clairement, pourtant, la simple gestion des peuples, des fashion’s cultures façonnées dans le bourbier d’une économie mondialisée.
C’est un moteur qui ronronne bien, certes,
Mais qui tourne à vide (avide évidement : loi de marché oblige).

La politique est une valeur ajoutée ;
Elle a ses intérêts, la morale mondialisée, aussi.

Chacun est dans l’obligation de garder ses opinions, sa foi, ses points de vues, ses divergences pour lui, ceci relatant du domaine des affaires privées. (maillage parfait).
Sauf, si cela peut faire vendre un produit déjà sur produit par un sous produit dit people.

Je suis donc privée.
Est-ce là, la seule liberté ?

Le respect n’est pas monnayable.

Peut-être que le respect est une forme de vie qui se cache dans une dimension parallèle.

L’économie du respect fait banquet sur le marché, la notion d’échange.

Attention : Pas d’échange sans contrat, sans pacte, sans trace écrite ;
Sinon, le « tu » fait place au « vous » et la guerre éclate en tant de « je » publiques, (Avec des règles).

Arène quotidienne au sable mouvant du leurre.

Je me pacifie alors, prenant pour crédit ce que l’on me taxe d’être.

Il est temps atomique de rajouter des lettres à l’alphabet, des mots aux maux de textes, du respect aux mœurs vivants.

La vie est en action.

Les règles s’auto engendrent à chaque instant.

L’éthique se blogue au tic-tac…


-11 Septembre 2010-


2 Reaction(s)

  1. Anonymous Anonyme 

    qu'est-ce-t-en-dit-grande-soeur ?


    La morale bloguée
    19 avril 2006 Plublié par BISSECTA


    Nous écrivons sur de l'électricité nos hiéroglyphes tentés d'une tournure plus acide. La morale, la loi, les textes, visent une vie Pacifiée ? Une vie abolie du passif ? Un monde de cris est à retrouver.

    Hélas il n’y a pas de paix dans la quotidienneté, ainsi nommée, au mieux, vagabond des temps morts, l’ennui, l’aliénation et la solitude, engrais du désespoir, de la rancœur et de la haine.

    Les villes n'existent plus. Voici venu la pluie du soleil. Les HLM sont battit en html, en php, et chacun des citoyens, devenu ce simple visiteur du Débat ou ce geek affirmé, vit la démocratie déplacée. Des lumières sublimes par les http.

    La morale, la loi acoquinées au droit, à la politique affiche clairement, pourtant, la simple gestion des peuples, le contrôle ou la mise en circulation des fashion’s cultures façonnées dans le bourbier d’une économie mondialisée.

    Hors sujet et pourtant présent : As-tu fait l'amour avec moi ? À la minute des coeurs affranchis. Peut-être. Pas.

    La morale, la loi acoquinées au droit, à la politique affiche clairement, pourtant, la simple gestion des peuples, le contrôle ou la mise en circulation des fashion’s cultures, façonnées dans le bourbier d’une économie mondialisée.

    Pour tout dire :

    C’est un moteur qui ronronne bien,
    certes,
    mais qui tourne à vide
    (avide évidement : loi de marché oblige).

    Mais mes cyber-phrères : soyez rentable – vous serez heureux

    La politique est une valeur ajoutée ;
    Elle a ses intérêts, la morale mondialisée, aussi.

    Chacun est dans l’obligation de garder ses opinions, sa foi, ses points de vues, ses divergences pour lui, ceci relatant du domaine des affaires privées. (maillage parfait). Sauf, si cela peut faire vendre un produit déjà sur produit par un sous produit dit people. (Populaire à viré de « fait par le peuple » à « fait pour le peuple »)

    Car il faut en convenir : la société n'existe plus. Rien a detruire, rien a transformer. Son temps c'est écoulé. Il ne reste ici que des rapports marchands. Le social c'est écroulé. Nous nous reunissont, toujours, autour du capitalisme. Comme autour d'un vers de rhum. Comme autour d'un concert de rock. Vivre autrement nous est interdit, en dehors des prisons. Il reste, bien sur, des acteurs et des actions inestimables. C'est-à-dire, gratuites. Un écart stratégique est à habiter dans une schizophrénie sophistiquée. Nous le savons.

    Je suis donc privée.
    Est-ce là, la seule liberté ?

    Le respect n’est pas monnayable.

    Peut-être que le respect est une forme de vie qui se cache dans une dimension parallèle. Sûrement le respect est une forme d'action qui se cache dans le vert de vos yeux.

    La lutte butine ici. Les abrutis s'archarne à chercher la liberté.

    L’économie du respect fait banquet sur le marché, la notion d’échange. Attention : Pas d’échange valable sans contrat, sans pacte, sans trace écrite ou absorbée ; sinon, le « tu » fait place au « vous » et la guerre éclate en tant de « je » publiques, (Avec des règles).

    Hier, Lorraine, avait ses règles. La lune l'a énervée.

    Arène quotidienne au sable mouvant du leurre. Scène de sourire et vent des glaces. oh oh.

    Je me pacifie alors, prenant pour crédit ce que l’on me taxe d’être.

    Il est temps atomique de rajouter des lettres à l’alphabet, des mots aux maux de textes, du respect aux mœurs vivants. Il est temps de ce détourner de la mort lente.

    La vie est en action.

    Les règles s’auto engendrent à chaque instant.

    L’éthique se blogue au tic-tac… Le podcast sent les fleurs d'hiver neigeux.


    - 11 Septembre 2010 -
    bissecta [et kim-sakkat]

  2. Anonymous Anonyme 

    Tu me fais hallucinée !

    Faut que je relise mais tu y as mis d'autres objets poétiques sur l'éthique.

    En fait, c'est délirant de faire tourner, glisser d'une verve à l'autre... Des choses se passent.

    Kiss-kiss !
    Petit phrère amedoré

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